Gert, originaire d’Eke, a eu le même parcours que de nombreux collaborateurs : d’étudiants jobistes à collaborateurs permanents. Ils se prennent de passion pour la boucherie, deviennent membres de la famille et ne peuvent plus s’en passer.
Apprendre un métier
« Il y a plus de 20 ans, j’ai commencé à travailler le samedi chez Renmans, à Deinze. Mon frère y travaillait aussi et je n’avais entendu que du positif de sa part. Ici, on a encore la chance d’apprendre un métier : nous n’engageons pas nos apprentis/apprenties pour faire le sale boulot. On apprend à travailler la viande fraîche, à découper et désosser, même si la viande est souvent livrée “en quarts” de nos jours. »
Renforcement des liens avec les clients
« J’ai vu pas mal de choses changer au fil des ans, mais une chose est restée la même : la satisfaction du client est toujours notre objectif principal. Cet objectif, vous devez l’avoir dans le sang, sinon mieux vaut choisir un autre métier. Par exemple, nous n’hésitons pas à préparer des produits jusqu’au dernier moment, pour servir le client comme un roi : mariner rapidement un filet, découper un bifteck de façon précise, préparer quelques brochettes, etc. »
Une équipe soudée
« Chaque compliment redonne de l’énergie pour continuer à se donner à fond. Ce qui caractérise Renmans, c’est aussi la loyauté entre employeur et employés, et mutuellement entre les collègues. J’aurais pu travailler plus près de chez moi, mais notre équipe fonctionne tellement bien depuis tant d’années que j’ai préféré rester avec eux. Plus besoin de mots pour nous comprendre. Aucun doute là-dessus : c’est ici que je veux fêter ma pension ! »